Despotisme & pigments noirs.



Tout les jours. Parfois à la même heure. Parfois non. Ces dix minutes passées à repeindre une identité. Et pas une de plus. Pour une raison qui m'échappe magistralement, cela dit.
C'est beau, ça brille, c'est violet, ou orange, parfois même vert, et comble de l'extase : c'est si peu humain.
C'est le "il faut". Oui, ce fameux "il faut". Ce "il faut" qui en six lettres résume toute l'histoire de l'humanité. Ce carcan immonde qui asphyxie la passion. Ce même qui déchaîne les nobles moeurs. Perdition & redemption, poil au fion.
C'est l'Ambivalent.



11/04/2010
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